dimanche, juin 08, 2008

Diadème

Le nectar fruité
d’une coupe salée
s’est étalé
dans ma bouche enflammée.

Dieu que j’aime cette fille
pour qui je fais des vrilles
sur son diadème.

Son corps bascule
comme le crépuscule.
Je suis ébloui !
C’est son nombril.

Je m’enfonce dans la joie.
Cette fois-ci c’est moi
qui d’un regain envoi
le second coup d’envoi.

Quel part s’exprime
qui diffuse les rimes
qui d’un profond échos
m’attrape au lasso.

Je reviens te chercher
mon amour
toi qui es penché
tour à tour
viens de mon côté
je veux recommencer.

1 commentaire:

Nayrus a dit...

Superbe. Sensuel. J'aime!